Chronique de Babynoux:
Avant tout j’aimerais remercier Sandra du forum Monde Imaginaire et les Editions Lokomodo pour m’avoir permis de lire ce livre. La couverture très belle et le résumé ont attiré mon attention.
Ce livre rassemble tout un ensemble de nouvelles chacune d’un genre et d’un style différent.
Chaque nouvelle est différente en son genre, l’une sera plus drôle, l’autre plus terrifiante, l’une sera plus fantastique, et l’autre plus science-fiction.
Chaque lecteur peut y trouver son compte dans ce recueil de nouvelle, l’une parle de robot, l’autre suivra une petite fille et sa poupée, etc.
Les nouvelles que je n’ai pas aimé ou du moment que j’ai le moins aimé sont « Le Banquet » qui comme son nom l’indique parle d’un repas avec une personne renommée, pourtant je n’ai pas bien compris le but, l’issu de cette lecture, c’était assez spécial. En second lieu, je n’ai pas non plus réussi à adhérer à « Masquarade », je ne saurais trop vous dire pourquoi, le style d’écriture ou autre. Et quand à « Néovocyte 41 », je suis très peu pour les nouvelles de science-fiction avec des robots etc donc je n’ai pas vraiment accroché non plus.
Cependant j’ai beaucoup aimé « Plastic Doll » et « encore un comprimé mon garçon ! ». La première car c’est une histoire très originale, la seconde car elle paraissait un peu dystopique et elle aborde un sujet intéressant : les enfants hyperactifs.
Concernant les personnages, je ne peux pas dire en avoir apprécié plus les uns que les autres car je m’attache très rarement aux personnages des petites nouvelles de ce genre, le temps étant trop court pour apprendre à bien les connaître. Mais faute d’aimer les personnages ou non, cela se joue entre les nouvelles en entière.
En résumé, un bon recueil de nouvelles à découvrir, je le conseille vivement ! Encore merci pour cette découverte.
Avant tout j’aimerais remercier Sandra du forum Monde Imaginaire et les Editions Lokomodo pour m’avoir permis de lire ce livre. La couverture très belle et le résumé ont attiré mon attention.
Ce livre rassemble tout un ensemble de nouvelles chacune d’un genre et d’un style différent.
Chaque nouvelle est différente en son genre, l’une sera plus drôle, l’autre plus terrifiante, l’une sera plus fantastique, et l’autre plus science-fiction.
Chaque lecteur peut y trouver son compte dans ce recueil de nouvelle, l’une parle de robot, l’autre suivra une petite fille et sa poupée, etc.
Les nouvelles que je n’ai pas aimé ou du moment que j’ai le moins aimé sont « Le Banquet » qui comme son nom l’indique parle d’un repas avec une personne renommée, pourtant je n’ai pas bien compris le but, l’issu de cette lecture, c’était assez spécial. En second lieu, je n’ai pas non plus réussi à adhérer à « Masquarade », je ne saurais trop vous dire pourquoi, le style d’écriture ou autre. Et quand à « Néovocyte 41 », je suis très peu pour les nouvelles de science-fiction avec des robots etc donc je n’ai pas vraiment accroché non plus.
Cependant j’ai beaucoup aimé « Plastic Doll » et « encore un comprimé mon garçon ! ». La première car c’est une histoire très originale, la seconde car elle paraissait un peu dystopique et elle aborde un sujet intéressant : les enfants hyperactifs.
Concernant les personnages, je ne peux pas dire en avoir apprécié plus les uns que les autres car je m’attache très rarement aux personnages des petites nouvelles de ce genre, le temps étant trop court pour apprendre à bien les connaître. Mais faute d’aimer les personnages ou non, cela se joue entre les nouvelles en entière.
En résumé, un bon recueil de nouvelles à découvrir, je le conseille vivement ! Encore merci pour cette découverte.
Résumé: Une adolescente accompagnée dans sa fugue par sa poupée. Un enfant hyperactif transformé en zombie par des médicaments et un autre qui rêve grâce à une ardoise. Un prêtre tentant d’empêcher la destruction de la France et un templier qui a pour mission de faire échouer un voyage vers la lune. D’étranges êtres émaciés apparaissant dans un jardin et des androïdes de sève et de chair cherchant l’émancipation... Ces récits, souvent mordants, parfois grinçants, sont autant d’études de l’âme humaine et des travers de notre société. Passant du fantastique baroque à la terreur moderne, de l’uchronie à une anticipation humaniste, l’auteur place un miroir devant les yeux du lecteur afin qu’il saisisse ce qui se passe derrière son dos... |